Mélo féministe sur une femme qui se sacrifie pour éponger la dette de son père, Osaka Elegy de Kenji Mizoguchi est révélateur de son époque (1936), pas pour les aspects techniques (le noir et blanc est superbe et le montage très élaboré) mais pour les conditions dans lesquelles évoluent les personnages. L'intrigue, un brin éparpillée, atteint heureusement l'équilibre avant la fin, enrageant le spectateur, lui faisant pourtant croire d'un avenir meilleur pour la protagoniste lors d'une superbe scène finale. ***1/2
mercredi 17 décembre 2014
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