Aki Kaurismäki aura rarement été aussi cinglant que dans Ariel, ce conte réaliste sur un travailleur qui tente de changer de vie. L'humour est noir, les situations tordues, le rythme sans faux pas et devant l'absurdité de l'existence, il y a sans cesse ce désir de croire en l'avenir. Un ton tout indiqué que vient seconder la mise en scène subtile et l'interprétation toujours harmonieuse. ****
samedi 13 décembre 2014
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