Avant ses grands classiques austères qui questionnent le rôle du divin, Carl Theodor Dreyer était l'auteur de films plus légers et même ludiques, comme Master of the House en 1925 qui a remporté un succès fou. Très moderne, cette satire mélodramatique sur un père de famille tyran qui se fait remettre la monnaie de sa pièce par les femmes qui l'entourent sonne encore juste à notre époque. La charge féministe est encore palpable et on se plait à redécouvrir l'ensemble, des interprètes formidables au soin apporté aux images et à la photographie. ****
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