Des films américains comme City of Fear qui suscitent la paranoïa, il y en a eu plusieurs au courant des années 50. Celui d'Irving Lerner qui porte sur un malfrat qui possède une arme de destruction massive sans le savoir interpelle par l'originalité de sa prémisse, son traitement efficace et son rythme rentre-dedans. Le résultat n'est pas toujours subtil et l'interprétation est inégale, mais il y a de quoi être sur le bout de son siège tant le sujet pourrait se dérouler de nos jours. ***
lundi 26 mai 2014
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