Dans la filmographie du Spielberg sérieux, on tend à oublier Amistad, qui porte sur un véritable procès où des esclaves noirs devaient être remis à leur propriétaire... ou tout simplement relâchés. C'est un peu normal, il ne s'agit pas de son meilleur effort (trop de symboles, de discours pompeux, de violons). Malgré tout, le sujet est important, quelques scènes marquent les esprits et la distribution est vraiment impressionnante. Il ne faut seulement pas le comparer à un certain 12 Years a Slave... ***
mardi 20 mai 2014
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