Roberto Rossellini n'est pas seulement le père du néoréalisme. Il est également l'auteur d'autres films merveilleux et marquants, comme Il Generale Della Rovere où il a demandé au grand Vittorio De Sica d'incarner un homme sans scrupule qui abuse de la foi des gens pendant la Seconde Guerre mondiale et qui devra apprendre à prendre position dans ce conflit sanglant. Réalisé avec précision, interprété avec conviction, ce puissant drame divisé en deux parties distinctes se veut un brûlot politique sur l'engagement et le sacrifice, et il est d'autant plus d'actualité à une époque où la neutralité a bien meilleur goût. ****1/2
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