Premier long métrage extrêmement prometteur qui finit toutefois par tourner en rond et à être un peu répétitif, Belin Telegram de Leila Albayaty est un film minimaliste sur une femme au coeur brisé qui décide de déménager ses pénates en Allemagne pour recoller les morceaux. Doté d'une narration généreuse et d'une belle poésie, l'essai mise davantage sur ses agréables images et sa formidable musique pour faire avancer le récit que sur l'histoire elle-même. On sent parfois l'exercice de style, ce qui n'empêche pas d'être intrigué par cet effort qui s'avère cependant trop long malgré ses 80 petites minutes. Peut-être est-ce la faute de la finale, qui ne sait pas comment bien conclure. ***
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