Jacques Audiard débarque toujours là où personne ne l'attend. Avec Les Olympiades, il propose une oeuvre légère et sentimentale d'une grande beauté plastique (la photographie en noir et blanc est sublime), prétentieuse et superficielle à ses heures, mais dont le magnétisme de ses interprètes fait battre le coeur plus rapidement. On en ressort envoûté. Ma critique complète sera à lire dans le numéro d'été de Ciné-Bulles. ***1/2
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