Autant j'adore le cinéma de Maxime Giroux et de Simon Lavoie (ici scénariste), autant Norbourg m'a laissé complètement de glace. Peut-être est-ce le traitement qui oscille malhabilement entre le suspense inopérant et la satire à usage unique. Ou la démonstration, soignée visuellement et musicalement, qui n'arrive jamais à élever son sujet. Ma critique. **1/2
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