S'il y a un film qui symbolise le trop plein, c'est bien Ce cher mois d'août (2008) de Miguel Gomes. Voilà une oeuvre qui multiplie les intrigues et les personnages, les mélodies et les ruptures de tons jusqu'à plus soif, créant un genre magique qui n'est ni la fiction ni le documentaire. De véritables montagnes russes de surprises et d'étonnements qui, sur 150 minutes, peuvent à la fois fasciner ou lasser, dépendamment de l'implication de chacun. Dans tous les cas, il s'agit d'un long métrage unique, qui annonçait un immense cinéaste. ***1/2
lundi 4 avril 2022
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