Pâques rime avec les films sur Jésus. Cette année, place à The King of Kings (1927), l'immense projet de Cecil B. DeMille. Fidèle à ses habitudes, le cinéaste plonge dans la démesure, autant au niveau des décors (spectaculaires) que du nombre de figurants (nombreux). À tel point qu'il semble parfois sacrifier son histoire éprouvée (H.B. Warner n'est pas toujours convaincant dans le rôle principal) au détriment des effets spéciaux et de séquences tardives complètement ahurissantes. ***1/2
dimanche 17 avril 2022
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