Les frères Marx s'en donnent à coeur joie dans A Day at the Races de Sam Wood (1937). Le scénario mince comme tout n'est qu'un prétexte à l'accumulation de gags, tous plus fous les uns que les autres. En plus d'une multitude de calembours physiques et verbaux, on a droit à des numéros dansés et chantés, ainsi qu'un des chevaux les plus hilarants de l'histoire du septième art. Lorsque la machine s'emballe (surtout dans la seconde partie), rien ne peux l'arrêter et il y a suffisamment de moments d'anthologie afin de dérider un mort. ****
dimanche 26 juillet 2020
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