Maîtrisant totalement l'unité de lieu et de temps, Louis Delluc offre avec Fièvre (1921) un condensé de son art, rendant limpide des histoires d'amour malheureuses qui émanent au détour de scènes souvent folles nécessitant des dizaines de personnages. De ce beau bordel triomphent des idées que les censeurs n'ont pas toujours aimées et des individus aux regards marquants.
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