Bien que peu nombreuses, les nouveautés cinématographiques de la semaine explorent une riche gamme d'émotions humaines.
Perdrix: Cela commence en force avec cette irrésistible comédie d'Erwan Le Duc qui traite de l'amour d'une façon tendre et singulière, renvoyant à ce que peut faire Wes Anderson, Aki Kaurïsmaki et Stéphane Lafleur. Un plaisir de chaque instant même si l'ensemble manque légèrement de gaz à mi-chemin. ***1/2
Ma critique
Mon entrevue avec le réalisateur
The Painted Bird: S'il y a un film qui aurait bénéficié du grand écran, c'est bien cette spectaculaire adaptation du roman de Jerzy Kosinski par Vaclav Marhoul. Les images en noir et blanc, éblouissantes, en mettent plein la vue, alors que la longue durée du récit (près de trois heures) cumulent les scènes violentes et insoutenables se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale. L'effet de saturation ne tarde cependant pas à survenir, et c'est à se demander justement si le cinéaste ne verse pas dans le sadisme gratuit. Un peu comme l'aurait imaginé Lars von Trier en refaisant Come and See. Offert virtuellement dans quelques salles de cinéma. ***1/2
Carmilla: Librement inspiré du classique littéraire de Sheridan Le Fanu qui n'avait rien à envier au Dracula Bram Stoker, ce premier long métrage d'Emily Harris donne la part belle à son climat menaçant et à sa photographie soignée. À tel point que cela finit par peser sur le rythme, ankylosé, et le récit, trop symbolique. Mais quelques scènes de sensualité cauchemardesque permettent à de jeunes interprètes de donner la pleine mesure de leur talent. À découvrir virtuellement dans quelques salles de cinéma. ***
Perdrix: Cela commence en force avec cette irrésistible comédie d'Erwan Le Duc qui traite de l'amour d'une façon tendre et singulière, renvoyant à ce que peut faire Wes Anderson, Aki Kaurïsmaki et Stéphane Lafleur. Un plaisir de chaque instant même si l'ensemble manque légèrement de gaz à mi-chemin. ***1/2
Ma critique
Mon entrevue avec le réalisateur
The Painted Bird: S'il y a un film qui aurait bénéficié du grand écran, c'est bien cette spectaculaire adaptation du roman de Jerzy Kosinski par Vaclav Marhoul. Les images en noir et blanc, éblouissantes, en mettent plein la vue, alors que la longue durée du récit (près de trois heures) cumulent les scènes violentes et insoutenables se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale. L'effet de saturation ne tarde cependant pas à survenir, et c'est à se demander justement si le cinéaste ne verse pas dans le sadisme gratuit. Un peu comme l'aurait imaginé Lars von Trier en refaisant Come and See. Offert virtuellement dans quelques salles de cinéma. ***1/2
Carmilla: Librement inspiré du classique littéraire de Sheridan Le Fanu qui n'avait rien à envier au Dracula Bram Stoker, ce premier long métrage d'Emily Harris donne la part belle à son climat menaçant et à sa photographie soignée. À tel point que cela finit par peser sur le rythme, ankylosé, et le récit, trop symbolique. Mais quelques scènes de sensualité cauchemardesque permettent à de jeunes interprètes de donner la pleine mesure de leur talent. À découvrir virtuellement dans quelques salles de cinéma. ***
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