Il y a 20 ans, Hideo Nakata était le roi du suspense malsain. C'était le cas justement de Chaos (2000), un pastiche du film noir qui s'amuse à tout complexifier, en jouant par exemple avec la temporalité et les doubles. Il n'y a rien à prendre au sérieux dans cet exercice de manipulation et de digression, si ce n'est un malin plaisir à saboter une intrigue déjà touffue par des coups de théâtre érotiques aussi imprévisibles qu'improbables. ***
mercredi 1 avril 2020
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire