Quatrième film de Hong Sang-soo en 12 mois, Grass pourrait paraître son plus modeste à 66 minutes. Il y a pourtant une exploration minutieuse des sentiments, alors que la gravité est plus présente que jamais. Sa caméra toujours attentive aux détails et à la durée se permet des variations singulières afin de mieux saisir l'âme de ses personnages. Lorsque la musique (classique) opère et que les hommes et les femmes se livrent dans un café, on ne peut qu'être comblé. ***1/2
Il faut être prêt à se laisser emporter afin d'apprécier Fausto d'Andrea Bussman à sa juste mesure. À l'aide d'images souvent inquiétantes et un sens inné de la narration, l'essai ressort des entrailles de la terre des mythes et des légendes, jouant avec les ombres et les étoiles, rétablissant le règne animal. L'exercice pourra paraître sommaire, mais il risque d'alimenter bien des rêves. ***
Il faut être prêt à se laisser emporter afin d'apprécier Fausto d'Andrea Bussman à sa juste mesure. À l'aide d'images souvent inquiétantes et un sens inné de la narration, l'essai ressort des entrailles de la terre des mythes et des légendes, jouant avec les ombres et les étoiles, rétablissant le règne animal. L'exercice pourra paraître sommaire, mais il risque d'alimenter bien des rêves. ***
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