Après son incendiaire Much Loved qui a a suscité un tollé, Nabil Ayouch est de retour avec Razzia, un autre portrait du Maroc à la croisée des chemins. (First Run Features)
C'est quoi? Entre passé et présent, tradition et modernité, le portrait de cinq personnes qui cherchent à s'émanciper de leur condition.
C'est quoi? Entre passé et présent, tradition et modernité, le portrait de cinq personnes qui cherchent à s'émanciper de leur condition.
C'est comment? Il s'agit d'une oeuvre chorale parfois puissante et bien intentionnée, peuplée de poésie, d'une interprétation forte et d'une finale longue en bouche.
Et pourtant? On n'évite cependant pas le film à thèses, démonstrateur et un peu trop étudié.
Techniquement? Il y a d'intéressants effets lumineux, alors que la musique au piano arrive à soutirer quelques larmes.
Suppléments? Rien.
Au final? Sans être le Magnolia maghrébin, le long métrage navigue avec aisance entre les thèmes importants, offrant de beaux personnages en trois dimensions.
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