Pour la Saint-Jean, on voudra redécouvrir Les États-Unis d'Albert, le grand film malade d'André Forcier, dont l'ambition démesurée n'a pas été atténuée par les forces en présence (oeuvre écrite en anglais mais tournée en français, coproductions, etc.). Au contraire, une fois qu'on accepte ce climat particulier et ce scénario qui se dérobe, on entre dans un univers magique, parsemé de répliques truculentes et de personnages incroyables. Mineur mais tellement rafraîchissant. ***
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