Notre «festival» Philippe Garrel se poursuit jusqu'à demain et aujourd'hui, on revoit son colossal Les amants réguliers, une de ses meilleures fresques en carrière. Dans ce récit à la fois ambitieux et intimiste qui se déroule pendant les événements de 1968, un homme vivra une histoire d'amour avec une femme. On retrouve tous les thèmes de son auteur à la puissance V, au sein d'un traitement sans concession, volontairement long (le tout s'étend sur près de trois heures) et abstrait, où la beauté des images et la précision de la direction d'acteurs ne forment qu'un. Un très beau film à vivre intensément. ****
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire