C'est à partir de Jeux d'été en 1951 qu'Ingmar Bergman est entré dans la cour des grands cinéastes. Même si ce film très personnel et accessible n'a pas la profondeur ou la complexité de ses plus grands classiques, il n'en demeure pas moins extrêmement intéressant. L'histoire d'amour entre une danseuse et un jeune homme est sidérante de beauté et de naïveté, la photographie s'avère somptueuse, Maj-Britt Nilsson campe une magnifique héroïne et les thèmes traités (la mort qui côtoie constamment la vie, le sacrifice des artistes, le passé qui corrompt tout, etc.) sont un grand pas dans la bonne direction pour ce qui était facilement de l'un des plus importants réalisateurs du septième art. ****
jeudi 3 avril 2014
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