Un peu de la même façon qu'Alain Resnais, le cinéaste britannique Terence Davies propose avec The Long Day Closes (et pas mal tous ses films) une déconstruction de ses souvenirs d'enfance (le Liverpool des années 50). Cela donne un long métrage fascinant et déroutant, extrêmement soigné dans ses images et dans sa trame sonore, dont la mélancolie heurte et séduit tout à la fois. Un projet courageux et personnel, qui se bonifie encore et encore à chaque fois qu'on le regarde. ****
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