Toujours dans la superbe rétrospective accordée aux oeuvres d'Orson Welles par la Cinémathèque québécoise, Touch of Evil fait office d'ultime film noir, où le pastiche n'est jamais très loin. Après une introduction mémorable (un des plus beaux plans séquences du septième art), l'histoire joyeusement alambiquée se dresse à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, au sein d'hommes de loi qui n'ont pas du tout la même façon de travailler. Autant la réalisation que l'interprétation sont géniales et on s'amuse follement à recoller toutes les pièces du casse-tête. *****
mercredi 12 mars 2014
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