Il y a plein de flashs intéressants émanant d'Abigail Harm (2013) de Lee Isaac Chung, qui conjugue contes de fées et amour tardif chez une femme solitaire qui fait la lecture à des personnages non-voyantes. La photographie est séduisante, la poésie bien présente et Amanda Plummer livre une performance touchante. Sauf que le récit d'à peine 80 minutes traîne en longueur et en répétitions, recourant à une maladroite voix off afin de se sortir du pétrin. Le cinéaste s'est heureusement repris quelques années plus tard avec son excellent Minari. (Film Movement) **1/2
mardi 25 janvier 2022
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