Quelques années après son peu concluant suspense Un homme idéal, le cinéaste Yann Gozlan renoue avec Pierre Niney par l'entremise de Boîte noire, un thriller nettement plus intéressant sur la délicate enquête entourant un tragique accident d'avion. Prévisible mais haletant, le récit nage dans les mêmes eaux que les classiques paranoïaques des années 70 - The Conversation en tête -, utilisant une mise en scène vibrante (riche travaille sur le son) et une interprétation plus que satisfaisante pour faire oublier les invraisemblances de son scénario qui, dans ses meilleurs moments, donne froid dans le dos. Présenté ce soir à Cinémania et à l'affiche dès demain. ***
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