De la noirceur naît la lumière. Ce dicton va comme un gant à Médecin de nuit, un polar classique et stylisé signé Élie Wajeman (Les anarchistes, Alyah) qui est sublimé par quelques éclaircies de quiétude et de réconfort. En toubib au grand coeur qui se met dans le pétrin bien malgré lui, Vincent Macaigne trouve son meilleur rôle en carrière, véhiculant d'un seul regard toutes les émotions de la condition humaine. Un peu comme si James Gray de la première heure se permettait de refaire Carlito's Way. À voir en ligne aujourd'hui à Cinemania et du 21 novembre au 1er décembre sur Crave. ***1/2
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire