Fabuleux récit sur la création, Esther Kahn prouve l'infini talent d'Arnaud Desplechin, capable de transformer une représentation de théâtre en suspense et d'évoquer les fantômes romanesques passés pour mieux les confronter. Surtout, il donne à la trop rare Summer Phoenix un rôle unique et inoubliable, elle qui enivre d'un seul regard. Voilà peut-être bien la clé d'une filmographie supérieure, qui se bonifie à chaque nouveau visionnement. ****
vendredi 14 février 2020
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire