Mars se termine sur une belle note, avec la sortie de longs métrages singuliers.
The Beach Bum: Après Spring Breakers, Harmony Korine demeure dans le film complètement cinglé avec une nouvelle satire de la vie américaine. À prendre ou à laisser. ***1/2
Mon entrevue avec le cinéaste sera bientôt publiée
Une femme en guerre: Malgré sa superficialité, cette fable écologique islandaise de Benedikt Erlingsson s'avère assez savoureuse. ***
The Mustang: Ce proche cousin de Lean on Pete de Laure de Clermont-Tonerre confronte classiquement mais avec un certain souffle épique l'homme-bête en quête de rédemption. ***
Nous sommes Gold: Éric Morin continue à traiter de la notion du territoire en s'empreignant de musique rock. L'énergie est contagieuse, bien que tout ne soit pas d'égale valeur. ***
Sauver ou périr: De très bons comédiens n'empêchent pas totalement ce drame de pompiers de Frédéric Tellier de se vautrer dans un sentimentalisme dégoulinant. **1/2
Dumbo: Tim Burton continue à s'enfoncer avec cette relecture sans âme d'un héros d'enfance, lui préférant ses humains insignifiants. Pourtant, c'est l'éléphant qui vaut son pesant d'or. **
Hotel Mumbai: Une effroyable histoire vraie sous fond d'attentats meurtriers devient l'objet d'un inexcusable récit d'exploitation de la part d'Anthony Maras, qui ne s'intéresse qu'à sa violence. **
The Aftermath: Difficile d'être passionné par cette indigeste bluette de James Kent qui mélange histoire et politique tant tout ce qu'elle avance est pétrie de clichés. **
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