Possiblement le plus important film cubain, Memories of Underdevelopment (1968) de Tomas Gutierrez Alea suit les aléas d'un intellectuel bourgeois lors du changement de régime. Finement interprété et écrit avec ses métaphores puissantes où le domestique et le politique ne forment qu'un, cette fresque intimiste sur l'aliénation est également un immense morceau de cinéma, naviguant au sein d'une forme libre qui surprend constamment. Il y a tellement de nuances et de sous-textes qu'on voudra le revoir en de nombreuses occasions. ****1/2
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