Entre théâtre, télévision et poésie, Larissa Corriveau a décidé de toucher à tout avec brio, réalisant même quelques courts métrages. Au cinéma on a pu la voir dans Polytechnique, Le banquet, Ville-Marie et Nelly. Je l'ai rencontré pour la sortie de Répertoire des villes disparues (mon entrevue) et je lui ai demandé quels étaient ses films préférés...
« J'en ai beaucoup. Je suis une
grande fan de Tarkovski. Pour moi Le miroir a été ma grande révélation
cinématographique. J'ai vu ça adolescente et c'est comme s'il y avait une espèce
de porte qui s'ouvrait sur ce que pouvait être le cinéma.
Un film qui a marqué mon enfance
est Mazeppa de Bartabas. C'est un
film qui est moins connu, qui est très particulier et qui parle du peintre
Géricault qui s'est mis à peindre des chevaux. C'est un univers très étrange.
J'aime beaucoup David Lynch
aussi. Mais il y en a tellement.
Un film québécois plus récent qui
m'a rentré dedans, c'est À l'origine d'un
cri. C'est un film qui a une puissance émotive hallucinante et qui n'est
jamais complaisant. »
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