La Guerre d'Algérie plane comme une épée de Damoclès sur Liberté, la nuit de Philippe Garrel. Séparé en deux actes un peu inégaux (le premier est plus puissant que le second), ce très beau film au rythme méditatif trouve sa richesse dans ses moments d'errance, où la caméra prend un malin plaisir à scruter le regard en attente de ses personnages. On retrouve là toute l'essence de l'art du cinéaste, qui utilise le noir et blanc mieux que quiconque chez ses contemporains. ***1/2
mardi 4 juillet 2017
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