Michael Winterbottom adore adapter Thomas Hardy au cinéma et avec Trishna, il offre une relecture de Tess. Très soigné sur le plan visuel et sonore (la musique de Shigeru Umebayashi marque les esprits), le film souffre d'un scénario parfois laborieux, qui n'exploite pas toutes ses bonnes idées en place. Le récit volontairement classique demeure malgré tout plutôt solide, et l'interprétation relevée participe à épaissir les personnages bidimensionnels. ***
mardi 11 juillet 2017
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