C'est une méditation sur la vie que propose L'homme qui a perdu son ombre, un voyage comme seul Alain Tanner sait les faire, avec ses avantages (questionnements existentiels, paysages soignés) et ses défauts (rythme indolent, subtilité à oublier). À tel point qu'il faut être un irréductible du cinéaste suisse pour trouver quelque chose de nouveau à cette réflexion sur la fuite, qui est entachée par un discours élémentaire sur les relations hommes/femmes. La fin, très symbolique, reste toutefois en tête. **1/2
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