Il y a d'abord le titre, magnifique: La naissance de l'amour. Puis la manière de Philippe Garrel d'entremêler les grands et les petits événements. En traitant du malaise de vieillir et de voir le désir filer entre les mains de la routine grâce aux relations illicites, le grand cinéaste touche juste. Cette oeuvre, belle et douloureuse à la fois, une de ses plus essentielles, captive et chavire, d'abord grâce aux mots de Jean-Pierre Léaud, puis aux regards de Lou Castel et enfin les mélodies de John Cale. ****
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