Fantasia s'ouvre en grand avec The Villainess de Jung Byung-gil, qui avait offert par le passé Confession of Muder, et il mérite d'être vu seulement pour ses scènes d'action incroyables, probablement les plus excitantes de l'année. La première et la dernière sont de véritables morceaux d'anthologie et il y en a plusieurs autres qui rendent béant. L'intrigue, qui lorgne vers Nikita et Kill Bill, est faussement complexe, et l'interprétation franchement inégale. Du coup, on attend que le sang gicle pour prendre son pied et on ferme ses yeux lorsque le sérieux et la romance embarquent. ***
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