Agréable méditation sur l'existence et le cinéma, La vallée fantôme d'Alain Tanner commence plutôt bien, alors que l'on suit Jean-Louis Trintignant au quotidien. Le ton poétique, philosophique et ludique n'est pas s'en rappeler celui de Rohmer. Un deuxième personnage important se greffe à l'histoire, puis un troisième, et le héros disparaît ainsi trop longtemps de l'intrigue, amenant du coup l'intérêt avec lui. Il revient toutefois à la fin, offrant au film ses meilleures scènes. Comme toujours chez le cinéaste, les paysages sont merveilleux et la réflexion est loin d'être banale. ***
lundi 3 juillet 2017
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