La mondialisation et le racisme quotidien ne sont que des prétextes à un polar classique et brouillon. Malgré une mise en scène élaborée qui laisse beaucoup d'espace aux ombres, Le serpent aux mille coupures d'Eric Valette chevauche les intrigues mécaniquement. On se demande ce que le grand Pascal Greggory est venu gagner dans cette galère qui aurait dû être plus troublante. **1/2
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