En attendant The Lost City of Z qui sort ce vendredi sur les écrans de cinéma québécois, on se replonge avec une joie incommensurable dans le cinéma de son cinéaste James Gray. Débutons avec We Own the Night, son film maudit et mal-aimé qui s'avère néanmoins immense dans sa façon de détourner tous les clichés hollywoodiens avec de créer une véritable fresque shakespearienne sur une famille divisée. Le jeu d'ombre et de lumière est sidérant, au même titre que la tension qui fait oublier une certaine lourdeur symbolique. ****
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