Deux grands films sortent cette semaine en format DVD et Blu-ray.
Right Now, Wrong Them: Amour, cinéma alcool: un cocktail doux-amer qui est toujours au centre de la carrière de Hong Sang-soo qui se dépasse avec cette création en deux temps sur un cinéaste qui débarque dans une petite ville pour présenter son nouveau long métrage. Un plaisir de chaque instant pour un bonheur qui durera longtemps. ****
La La Land: Cette comédie musicale enchantée de Damien Chazelle a fait son plein d'Oscars et ce n'est pas un hasard: en étant respectueux du passé, le jeune réalisateur parle avec mélancolie de choses qui sont sur le point de disparaître à jamais. La trame sonore risque de jouer en boucle encore et encore. ****
Ma critique du dvd
The Girl With All the Gifts: Renouveler le film de zombies n'est pas évident et Colm McCarthy y arrive presque avec cette réflexion actuelle sur des morts-vivants qui sont parfois plus humains que des vivants. Malgré des personnages schématiques et des situations attendues, le récit s'avère puissant et la mise en scène plutôt solide. ***
The Girl With All the Gifts: Renouveler le film de zombies n'est pas évident et Colm McCarthy y arrive presque avec cette réflexion actuelle sur des morts-vivants qui sont parfois plus humains que des vivants. Malgré des personnages schématiques et des situations attendues, le récit s'avère puissant et la mise en scène plutôt solide. ***
Roger d'Astous: Voilà un documentaire respectueux d'Étienne Desrosiers sur le célèbre architecte québécois. Si la forme demeure extrêmement sage, les intervenants sont généralement tous intéressants. En vidéo sur demande. ***
The Founder: Michael Keaton est excellent dans ce biopic sur McDonald's. Dommage que le long métrage signé John Lee Hancock s'apparente à un banal téléfilm, avec un scénario mécanique et prévisible. **1/2
Nelly: Anne Émond éclate littéralement son sujet - l'existence de Nelly Arcan - au sein d'une création audacieuse mais ultimement froide et superficielle. Reste une prise de risques qui aurait pu fonctionner et une performance généralement maîtrisée de Mylène Mackay. **1/2
Underworld: Blood Wars: Cet énième volet d'une franchise à succès ressemble toujours à un soap shakespearien. La réalisatrice Anna Foerster ne se prend heureusement jamais au sérieux et les fans risquent toujours d'y adhérer. **
Iceman: Les amateurs de Donnie Yen ne voudront surtout pas voir cette production qui ensevelit son talent sous une tonne d'effets spéciaux risibles et un semblant d'histoire qui n'est qu'un prétexte à une succession incessantes de scènes d'action. *
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