La première partie du Samson d'Andrzej Wajda est vraiment impressionnante, plongeant un jeune juif polonais de prison en prison avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. La construction riche et sensible est en parfaite harmonie avec le style sobre cinématographique. La suite plus éclatée peut se perdre dans les symboles, mais elle demeure néanmoins assez puissante et évocatrice des horreurs physiques et psychologiques. À la Cinémathèque québécoise. ****
samedi 8 avril 2017
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