Suite au superbe L'homme de marbre, l'aussi grandiose L'homme de fer d'Andrzej Wajda reprend ses héros plus grand que nature et ses ellipses complexes pour raconter cette fois l'histoire d'un journaliste qui tente d'entacher la réputation d'un syndicaliste. Fascinant, le récit mené tambour battant est un portrait éclatant de son pays, entre manipulation des différents pouvoirs (ce qui amène la censure) et solidarité du peuple. Voilà une Palme d'Or pleinement méritée. À la Cinémathèque québécoise. ****1/2
lundi 3 avril 2017
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