Les films de grande qualité se succèdent cette semaine au niveau des sorties DVD et Blu-ray.
Moonlight: Fabuleux portrait en trois étapes d'une existence difficile, cet opus de Barry Jenkins enchante autant par sa réalisation chevronnée que son interprétation hors du commun. En voilà un qui n'a pas volé ses Oscars, surtout celui du meilleur film. ****
Creepy: Kiyoshi Kurosawa retourne à l'horreur par l'entremise de ce suspense glaçant, techniquement parfait et moralement angoissant. À ne pas manquer. ****
We are the Flesh: Il n'y a rien qui ressemble à cette vision hallucinée d'Emiliano Rocha Minter qui déstabilise dans chaque plan. Ceux qui oseront n'en reviendront tout simplement pas. ****
Doctor Strange: Un Marvel psychédélique qui emprunte autant à Inception que The Matrix. Un divertissement respectable, doté de suppléments en or et d'un grand soin technique en Blu-ray. ***
London Road: Un musical un peu inégal mais tout de même respectable, inspiré d'un fait divers qui charme autant qu'il donne des frissons dans le dos. ***
Rules Don't Apply: Même s'il est en petite forme, cet effort superficiel et trop long de Warren Beatty amuse et détend dans sa façon de recréer une époque révolue. ***
Ma critique
1:54: Ce succès au box-office québécois déçoit dans sa façon de s'adresser un peu n'importe comment au public adolescent et de tout régler de la pire des façons possibles. Un récit sur l'intimidation lourd et appuyé, qui devient risible au lieu d'émouvoir. **
We are the Flesh: Il n'y a rien qui ressemble à cette vision hallucinée d'Emiliano Rocha Minter qui déstabilise dans chaque plan. Ceux qui oseront n'en reviendront tout simplement pas. ****
Doctor Strange: Un Marvel psychédélique qui emprunte autant à Inception que The Matrix. Un divertissement respectable, doté de suppléments en or et d'un grand soin technique en Blu-ray. ***
London Road: Un musical un peu inégal mais tout de même respectable, inspiré d'un fait divers qui charme autant qu'il donne des frissons dans le dos. ***
Rules Don't Apply: Même s'il est en petite forme, cet effort superficiel et trop long de Warren Beatty amuse et détend dans sa façon de recréer une époque révolue. ***
Ma critique
1:54: Ce succès au box-office québécois déçoit dans sa façon de s'adresser un peu n'importe comment au public adolescent et de tout régler de la pire des façons possibles. Un récit sur l'intimidation lourd et appuyé, qui devient risible au lieu d'émouvoir. **