Entre ses classiques muets du surréalisme allemand et ses grands films noirs américains, Fritz Lang a réalisé en France Liliom. Si ce film moins connu est loin d'être une référence dans la riche filmographie de son cinéaste, il se laisse découvrir pour la performance survoltée de Charles Boyer qui multiplie les mauvaises décisions au lieu de trouver le bonheur là où il est. La photographie est remarquable et la dernière demi-heure drôle et imaginative compense quelques largesses scénaristiques. À la Cinémathèque québécoise. ***1/2
mardi 7 février 2017
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire