Baroque à souhait, Hamoun de Dariush Mehrjui (La vache) est un peu le 8 1/2 iranien. Sans être du même calibre que le chef-d'oeuvre de Fellini, ce long métrage qui n'a sûrement pas fait l'unanimité dans son pays d'origine foisonne de thèmes. À tel point que cette plongée dans le quotidien d'un intellectuel déstabilise, enchante et irrite tout à la fois. On retient le pouvoir d'évocation des images, la musique teintée de synthétiseurs et un récit impossible à deviner. ***1/2
jeudi 16 février 2017
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