Adaptation du livre de George de la Fouchardière, Scarlet Street de Fritz Lang souffre des comparaisons avec La chienne de Jean Renoir, réalisé 14 ans plus tôt et supérieur à tous les niveaux. Reste qu'au lieu d'une finition naturaliste, le film emprunte les codes du film noir, créant une tension qui est totale dans les dernières 15 minutes. La distribution est impeccable et la réalisation appliquée à défaut d'être transcendante. À la Cinémathèque québécoise. ***1/2
samedi 11 février 2017
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