Tout est là. C'est le sentiment qui ressort de 24 heures ou plus de Gilles Groulx. Bien qu'il ait été tourné au début des années 70 (et censuré à l'époque), ce documentaire est toujours cruellement d'actualité dans sa façon de parler du travailleur et de son engagement au sein d'une société où les hautes instances contrôlent tout. Le travail d'entrevues et d'archives est senti malgré quelques longueurs et on ne peut que se rappeler que le cinéaste était en pleine possession de ses moyens lorsque vient le temps de son montage, magistral. ****
dimanche 12 février 2017
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire