On n'avait plus eu de nouvelles des frères Taviani depuis leur magistral César doit mourir qui a remporté l'Ours d'or à Berlin en 2012. Les voici de retour en petite forme avec Wondrous Boccaccio, une nouvelle version du Decameron qu'il ne faut surtout pas comparer à Boccace 70 et encore moins au classique de Pasolini. De facture théâtrale mais dans un filtre que n'aurait pas renié Rohmer, ces films à sketchs de qualité variable sur l'amour et la transgression ne choqueront plus personne. Ils servent plutôt à rappeler la grande qualité littéraire de ces textes, ce qui est toujours appréciable mais un peu plat de la part de ces immenses cinéastes italiens. Au Centre Phi du 3 au 7 novembre. ***
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