De tous les cinéastes japonais des années 60, Nagisa Oshima est un des plus radicaux. Lorsqu'il agit en mode ludique et hypnotique, cela donne Sing a Song of Sex, un délire social et politique où quatre étudiants s'imaginent tuer un professeur et violer une collègue de classe. Mais est-ce que leurs actes se matérialisent réellement? C'est à voir dans ce tour de force inusité et un peu frustrant, visuellement soigné et fort imaginatif. Un peu comme si Godard reprenait Orange mécanique avec des chansons. ***1/2
samedi 28 novembre 2015
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