Avec toutes ses suites, ses remakes et ses dérivés, il peut être bénéfique de revenir au Godzilla original, celui qu'Ishiro Honda a réalisé en 1954, pour mieux comprendre son impact sur le Japon. Métaphore du nucléaire, cette superproduction n'a pas perdu de son pouvoir d'évocation même si ses effets spéciaux peuvent paraître aujourd'hui rudimentaires. Il y a du souffle, des surprises, des grands rires et un désir de traiter de choses sérieuses à travers le grand spectacle. Celui qui est irrésistible et qui n'épargne personne. ***1/2
mardi 20 janvier 2015
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