Seule et unique sortie au cinéma cette semaine (du moins, au Québec), The Woman in Black: Angel of Death est une suite convenue et inutile d'un long-métrage à succès qui était déjà très peu recommandable. Se déroulant toujours dans un manoir hanté mais cette fois pendant la Seconde Guerre mondiale, ce récit réalisé anonymement par Tom Harper cumule tous les lieux communs et les sursauts attendus. Là où il y avait pu y avoir une réflexion intéressante sur le passé qui traumatise et les horreurs de la guerre, il n'y a qu'une production sans réel attrait qui vampirise tous les The Uninvited (la version de 1944, bien entendu) de ce monde. **
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