Lars von Trier doit être un grand fan de The Life of Oharu, ce récit malheureux d'une femme d'un certain rang social qui finit par vendre son corps pour survivre. Cet opus concocté de mains de maître par Kenji Mizoguchi offre une de ses plus belles réalisations en carrière tout en lui permettant d'explorer à nouveau ses obsessions personnelles et artistiques. On plonge dans ce classique oublié avec volupté, grâce et effroi, en voulant à tout prix sauver la pauvre héroïne de son sort. ****1/2
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